Les sociétés développées ne sont pas toujours irréprochables. Chez nous aussi, le secteur philanthropique a de quoi faire. C’est ce...
Résultats de 41 pour
Rega
Il y a un an, nous avons publié ici une version beta de notre déclaration de données et l’avons mise...
La hausse des prix touche surtout les plus pauvres En Suisse, de nombreuses personnes souffrent actuellement de la hausse des...
Les fondations sont-elles un facteur d’implantation pour le canton de Zurich? Absolument. Aujourd’hui, les fondations sont un facteur d’implantation important...
AVINA a été fondée en 1994 par votre mari Stephan Schmidheiny. Pourquoi avez-vous choisi une nouvelle orientation pour votre fondation lorsque...
«Résilience» numéro 4/2023
CHF 15.00
Le monde est à l’envers. Une crise suit l’autre. Il y a peu d’espoir d’amélioration. Notre résilience est mise à l’épreuve à tous les niveaux: en tant que société, dans les entreprises, dans la coopération internationale et en tant qu’écosystème de notre planète.
La résilience est le lien invisible qui nous permet de prévoir, d’anticiper et de gérer les crises. Elle se manifeste par un regard intrépide vers l’avant, qui accepte les dangers potentiels, et dans la volonté de construire activement l’avenir, de changer le présent et de se préparer ainsi à d’éventuelles crises.
Quel rôle le secteur philanthropique joue-t-il?
Louise Pulford, CEO du Social Innovation Change (SIX) actif au niveau mondial, souhaiterait que ce soit un rôle beaucoup plus actif. Le secteur devrait sortir de sa zone de confort et exploiter son importante marge de manœuvre compte tenu du capital rapidement mobilisable, de ses réseaux et de l’expertise disponible. Penser plus grand, devenir plus flexible, surmonter les barrières et construire des ponts tout en restant modeste, c’est ce que recommande Roger de Weck dans l’entretien.
La présente édition de The Philanthropist montre la diversité des contributions des fondations et des OBNL à un avenir résistant et résilient de notre société, de la collecte des marmites de l’Armée du Salut à la Fondation Mercator Suisse, qui soutient à travers newstest.ch un projet de coopération grâce auquel, chère lectrice, cher lecteur, vous pouvez tester vous-même vos compétences médiatiques. Êtes-vous résilient en matière de fake news?
Pourquoi la Mobilière s’intéresse-t-elle précisément à la résilience? En tant qu’assurance, notre modèle d’entreprise se base sur le principe de...
On salue souvent votre engagement. Que signifie pour vous cette reconnaissance du public? Pour moi, cette reconnaissance s’adresse à toutes...
À Noël, notre société donne l’impression que tout va bien. Les nombreuses lumières, les cadeaux, les collectes de fonds et...
Chère lectrice, cher lecteur, Le monde est à l’envers. Une crise suit l’autre. Il y a peu d’espoir d’amélioration. Notre...
Fin 2022, le directeur de longue date de la Croix rouge suisse (CRS), Markus Mader, a dû quitter son poste...
Les données constituent de puissants alliés. Elles révèlent des schémas, pointent les dysfonctionnements, dévoilent de nouvelles possibilités et soutiennent avec fiabilité les décisions exigeantes. Leur potentiel est immense et lorsqu’elles sont intelligemment combinées, les données développent des arguments convaincants. Grâce à ChatGTP – et avec un peu de chance – elles peuvent même produire une rédaction toute prête pour l’école.
Aucun domaine n’y échappe. La science, les entreprises et les organisations d’utilité publique utilisent les données pour créer de la valeur ajoutée pour les chercheuses et les chercheurs. Toutefois, ces opportunités et possibilités infinies s’accompagnent d’une augmentation des risques. Les données peuvent devenir de puissants ennemis. Est-ce une raison pour les restreindre voire ne plus les utiliser? Ou ne plus faire confiance à aucune donnée? Nous pensons qu’il vaut la peine d’adopter une position différenciée. Garder une vue d’ensemble plutôt que de se perdre dans le mirage des données.
Notre tour d’horizon du secteur tertiaire nous montre que les approches innovantes et intéressantes y sont nombreuses. Toutefois, peu de personnes ont conscience des risques et des opportunités d’un processus basé sur les données et les dangers sont bien souvent sous-estimés. Nous sommes convaincus que les organisations d’utilité publique gagneraient à être davantage conscientes du potentiel des données et de savoir de quelles données dispose exactement le secteur. Elles devraient en outre se donner les moyens de les utiliser de manière constructive.
Cela présuppose de remettre en question les stratégies de soutien et de les adapter si nécessaire. Et vous, comment gérez-vous les données? La nouvelle loi sur la protection des données entrera en vigueur en septembre: une bonne occasion de jeter un regard critique sur son propre inventaire de données! Exploiter le potentiel est une affaire commune. Êtes-vous prêt pour davantage de transparence? L’article sur Candid montre comment un simple formulaire, intitulé «Form 990», bouleverse les règles du jeu de la philanthropie.