Foto: Borussia / Christian Verheyen

L’activité physi­que, facteur d’unité 

Une pratique bonne pour le corps et l’esprit, mais aussi la société

Chère lectrice, cher lecteur, 

Le sport fait bouger. Notre corps tout
autant que notre esprit. Il nous donne de la force et de l’endurance et nous main­ti­ent en forme même à un âge avancé. Le sport motive, crée des liens et s’avère souvent une école de la vie. Le sport est bien plus qu’une «simple» acti­vité prati­quée à haut niveau. Le sport a un large impact. Et il ne parle pas une langue spéci­fi­que. Le sport est compris partout dans le monde. Même s’il peut être fatig­ant, péni­ble et éner­vant, surtout pour celles et ceux d’entre nous qui n’aiment pas le prati­quer. Sans le sport, notre société serait différente.

Pour beau­coup, le sport est une évidence. Mais même si nous avons (pres­que) toutes et tous suivi des cours d’éducation physi­que à l’école, nous savons que de nombreu­ses acti­vi­tés spor­ti­ves ne sont rendues possi­bles que grâce à un soutien supp­lé­men­taire, grâce à l’engagement de nombreu­ses asso­cia­ti­ons et fonda­ti­ons à but non lucra­tif et celui de milliers de béné­vo­les. Pour les person­nes qui ont des beso­ins spéci­fi­ques en raison de condi­ti­ons de vie parti­cu­liè­res ou d’un handi­cap, notam­ment, le sport apporte une norma­lité dans la vie quotidienne.

Le sport repré­sente plus qu’un «simple» club ou tour­noi comme le FCZ ou Roland Garros. Le sport a un pouvoir fédé­ra­teur dont toute la société profite. Avec ce
numéro, nous souhai­tons vous faire décou­vrir cet aspect d’utilité publi­que
du sport.

Je vous souhaite de merveil­leux moments de lecture.

Dr. Peter Buss

PDG et éditeur

Phil­an­thropy Services AG

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